

Le coronavirus infecte non seulement les personnes, mais aussi les entreprises, des secteurs d'activité et filières entières. Dans ce contexte, le commerce électroniques et les technologies associées s'avèrent plus importants que jamais. En particulier l'automatisation et l'intelligence artificielle.
De nombreux tests m'ont convaincu que les anciennes versions d'un site toujours en ligne actuellement ou ayant disparu conservaient une empreinte dans le moteur de recherche Google. Mais jusqu'où va ce système d'archivage ? Avertissement: cette réflexion est une réflexion de Geek qui n’intéressera pas les pros du marketing.
Durant l'une de mes formations, j'ai découvert en tentant de me connecter au site du nouveau réseau social à la mode, Line, qu'il s'agissait, en réalité d'une filiale de Naver, le principal moteur de recherche et portail internet coréen. Cela me donne l'occasion de partager une synthèse où j'évoque notamment le fait que la capitalization boursière de Naver est proche de celle de Yahoo. Naver n'est donc pas simplement un petit moteur de recherche de l'autre bout du monde avec des caractères bizarres.
Alors que de nombreuses entreprises mobilisent une énergie importante pour créer une présence sur les réseaux sociaux, parce qu'on leur promis que c'était devenu incontournable, des évolutions structurelles frappent actuellement la principale source de trafic, de prospects, de clients de chiffre d'affaires d'un site internet: le référencement naturel. Un nouveau portai spécialisé sur le référencement naturel m'a demandé de rédiger un article sur le sujet: voici donc une analyse toute personnelle des dites tendances.
Si seulement 1% des budgets digitaux sont consacrés à l'optimisation des performances commerciales d'un site, il existe pléthore de techniques à l'efficacité prouvée du recentrage des budgets de promotion sur les canaux d'acquisition les plus rentables comme le SEO, aux analyses multitouch, en passant par le testing et le retargeting par email ou par bannière, les outils ne manquent pas. Cdiscount teste depuis début 2012 une nouvelle approche via un partenariat avec l'assureur Metlife.
Raphaël Richard
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